La ville d'Akbou semblerait construite sur les ruines de l'antique ausium que Ptolémée empruntait sur son chemin vers saldea en allant d’aumal. Les traces archéologiques de cette citadelle demeurèrent enfouies sous le sol d'Ara fou.
Lors du passage des turcs, un centre pour les janissaires a été édifié au centre de la citadelle, ainsi tout un charnier remontant à cette époque, a été découvert lors des constructions des nouvelles bâtisses sises à la limite nord de la ville.UN mausolée édifie par les ottomans demeure témoin de leur passage ainsi que les nombreux mots emprunter aux turcs.
Le nom de Metz lui fut attribué,lors de la colonisation française,Puis kouba a été choisi comme qualificatif de la citadelle d'ou découle son nom actuel AKBOU.
"Akbou est crée en 1874, siége d'un bureau arabe, d’une commune mixte en 1880 et d'une commune en plein exercice en 1883.
Elle avait 1300 habitants .Dont 600 musulmans. Mais la commune s'étalant d'awzellagen à tazmalt comptait 5400 indigènes, elle avait une école de filles et garçons, ponts et chaussées, curé, gendarmerie, prison civil, hôpital, eau venant de chellata, voie ferrée, route.."
La caserne fut construite aux alentours de 1870 par le général Randon, aujourd’hui anéanti par le béton.
Pendant la période coloniale, un semblant réveil économique fut amorcé .L'activité principale fut l'agriculture et ses dérivés (le conditionnement des figues qu'on exporte outre mer) l’exploitation de la mine sise sur le dos du Gueldamen, principalement axée sur l'extraction du minerais de fer).
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