dimanche 2 décembre 2012

IGHRAM ET CHELLATA LES ILLULENS HEROIQUES

Athoudart ala Soummam                                          O VILLAGES DELA SOUMMAM

Falasat idavdha thoura                                                               Berceaux de la révoltions
Nouthni thazar gouzel                                                               TERRE DES HOMMES D’ACIER
Aken alen thazou3ama                                                             IMAGE DE L’HEROISME ET DE DIGNITE
Noukni nvagssad aljihad                                                           TOUS, ENGAGES DANS La guerre
Arabi nagoui chi3a                                                                     DIEU NOUS A BENI
Allah alhad ayathma magalhak thinagoura                            o, mes frères, on est lésé dans nos droits
Poème de la défunte mère de Taieb takorabet, Mme boumezirene Fatima

« Tant que les lions n’auront pas leurs historiens, les chasseurs
Feront toujours leurs éloges »
Passant à l’autre versant d’AKBOU, ou le douar d’Ighram offrait à l’Algérie combattante ses meilleurs enfants, ailleurs il était le théâtre de la grande bataille mémorable, qui s’était déroulait sur les hauteurs du village i3amuran en été 1957, au fait les courageux hommes d’Illulen s’alliant au régiment de moudjahidine qui venait d’entrer de Tunisie guidait par  SLIMANE LASSO; étaient sous le commandement de SI AHMIMI FADHEL qui par la ruse  de guerre précédait, les soldats français ,en occupant les points stratégiques du village I3AMURAN  région accidentée et riches en oliviers.
L’armée coloniale super équipée et accompagné e des traitres de la nation (les harkis) n’avait pu tenir devant l’ardeur de nos valeureux hommes qui  étaient encouragés par les youyous des femmes des villages thighilt MakhloUf et ii3AMURENl.les français se rendaient compte que les fédayins avaient acquis du nouveau matériel militaire au vu de la résistance acharné qu’ils ne pouvaient ébranler.
Le bilan de la bataille avait été positif sur tout les plans .d’abord, sous l’angle psychologique les guerriers ont gagné la confiance en soi  et tiraient la leçon fondamental « c’est la justesse de la cause qui fait des héro et non le potentiel militaires des soldats » Quant au résultat matériel, il se résume ainsi :
Les pertes ennemies s’élevaient à 140 soldats tués, perte d’un avion T6.

Pour les moudjahidines : 40 tombés sur le champ d’honneur, blessure de 14 autres.
Renforcement de l’arsenal militaire, en récupérant les différentes armes de l’ennemi et du matériel de communication. Un de ses multiples villages sort du lot. Il s’agit de  Taslent, village qui culmine à plus de 800m d’altitude, dont le nom dérive d’Agni taslent (mont du frêle).
On peut y accéder par la route à partir d’Akbou, en montant la route communale d’Ighram.
Sa position géographique privilégiée, offre une vue panoramique de la basse
Vallée de la Soummam .Depuis les hauteurs du village, on domine pratiquement le Sud Est d’Akbou.
Comme, la majorité des villages kabyles, les matériaux modernes agressent au quotidien les vestiges anciens, qui s’affirment à travers les quelques battisses qui portent encore « l’art de construire purement kabyle » ; maisons cimentées à la brousse de vache, construites avec des pierres et argile et occupant souvent les terrains rocheux et stériles sur le plan agricole.
Le village a abrité sur ses terres la fameuse zawiya d’ABUDHAOUD
Depuis le 15 IIème siècle, grâce à laquelle la montagne fut désignée comme « le mont de lumière= djebel nour »
Le monastère avait 3 annexes implantées à bordj et msila.et demeurât indépendant des mouvances islamiques comme les branches de la rahmania ou la doctrine soufis.
L’école était spécialisée dans le droit musulman mais offre aussi un programme d’enseignement, riche en son temps, qu’on peut résumer aux disciplines suivantes :
commentaire du Coran
tradition du prophète
astronomie
rhétorique et sciences des calcules
Parmi ses élèves les plus distingués, cheik Belgacem fondateur de la zaouïa al Harmel de Biskra,
Le secrétaire d’Ahmed bey de Constantine
_lmehdi Mechched (1892_1973) fondateur de la bibliothèque privée de manuscrit du Maghreb implantée dans la région des Ait wartiren.

Ce dernier fut pour la région la source principale dans les calcules des calendriers berbère, musulman et agricole.
On ne peut parler de taslent sans remémorer l’héroïsme de ses enfants, qui prend racines
la réputation des deux zawiyas d’Illulens à atteint son apogée au point ou le dicton qui suit est devenu un axiome pour tout ceux qui cherchaient le savoir à cette époque « ceux qui n’ont pas appris le coran à Chellata et le fiqh à taslent sont considérés de formation incomplète »
Bien avant la guerre d’indépendance. On y trouve la tombe de Saïd rahal mort à icharithen en 1878 lors du soulèvement de fathma nsoumer.le village donnât son premier martyr à la région des le début de la guerre d’Algérie en la personne d’ouhaddad rabia, assassiné à bordj lors d'une mission qu’il accomplit au profit de la zawiya.
Taslent fut le village sur du colonel Amirouche  ou il n’éprouve qu’assurance et certitude lors de la guerre de libération, les vigiles du village assurèrent sa sécurité dignement.
« … c’est vous qui aurez en charge d’éduquer les générations de l’indépendance et qui serez les cadres de l’Algérie libre. En effectuant vos études à cette école, vous accomplissez le même combat que celui des moudjahidines, c’est cette façon à vous de lutter qui nous rassure sur l’avenir du pays. N’oubliez pas que la guerre sera longue et pénible, soyez donc prêts à prendre le flambeau si on a besoin de vous au maquis, mais d’ici là concentrez vous sur vos études et travaillez dur..» c’était l’un de ses discours prononcé  à la zawiya d’Abudaoud.
 Le Colonel Amirouche Ben Hammouda, qu’Allah lui accorde sa miséricorde. J’avais appris de la bouche de mon défunt père que le colonel est un homme respectueux de la religion et de ses adeptes mais aussi il ne manquait pas d’égards à tout  les fils d’Algérie  ayant une instruction même minime, car il était convaincu qu’une nation ne peut se mettre debout sans le respect .de ses élites. Mon père mhend avait la chance de connaitre le futur colonel à Aubervilliers, en France il m’avait appris que Amirouche était très pieux et d’une conduite irréprochable et digne d’authentique kabyle musulman,car,très attaché aux valeurs islamiques  ce qui le menait à intégrer le mouvement des ulémas à PARIS après savoir quittait le MTLD pour des raisons non encore élucidées. On parlait de son désaccord avec la mouvance berbériste car convaincu que le seul but du moment c’est la dignité de son peuple entier et tout projet concomitant à la noblesse de l’indépendance peut freiner dangereusement l’élan de l’indépendance.il se démarquait de tout ce qui pouvait nuire à l’unité de l’Algérie ou porter atteinte à l’appartenance au monde arabo musulman du peuple maghrébin.
A ce sujet j’avais à côtoyer un ancien membre de la  ‘e à dévoiler même les secrets de la révolution aux cheikhs de la zawiya si Tayeb et si boubou.
Comment ne pas trouver qu’assurance et sureté dans  ce monastère qui ne lésinait pas sur les moyens matériels et humains à la disposition des moudjahidines. C’est dans cette optique que la famille d’Abudaoud ait vendu même ses biens au niveau de bordj bouararrij.
Le vieux me racontait beaucoup, mais je n’’avais à retenir  que les plus fondamentales car elles ne sont que la projection objective de la personnalité de l’héros kabyle.
L’une de ces histoires fut celle cis :
APRES SA VISITE à la zawiya d’abadaoud ou il s’adressait aux talbas, on s’est réunis en tant que membres des ulémas musulmans d’Akbou, et un de nous brusquait Amirouche par sa question combien prémonitoire !!! Colonel notre armé est composé de braves gens pieux et de gens malsains qu’adviendra t'il de notre indépendance ?
Amirouche marquait un temps d’arrêt avant de répondre à l’assistance "braves gens, on ne peut interdire aux hommes d’ambitions malhonnêtes d’intégrer l’ALN, mais je demande à DIEU LE TOUT PUISSANT que ceux qui auront à affronter la grande révolution de l’indépendance soient de ceux qui étaient persuadés que la dignité de la nation ne se marchandait pas et que la vie humaine n’est que poussière éphémère devant la vie de la nation »
Mohamed Salah SEDDIK rapporte une parole d’Amirouche qu’il rencontra en Tunisie montrant l’ampleur de son intérêt à la langue arabe : « l’honneur de la langue arabe en Algérie s’est dégradé et avec lui celui de ses habitants, et il est temps qu’elle reprenne sa place méritée dans l’école, l’administration, le tribunal, la rue et dans tous les autres domaines de la vie…, la langue arabe est un des plus grands facteurs responsables de l’union des musulmans, c’est la langue de leur religion, du Coran instituteur de leur culte et de leur culture. L’épanouissement et la propagation de cette langue reposent sur la multiplication des écoles, de la presse et des mosquées. Et comme les colons français avaient réalisé le pouvoir de cette langue pour faire converger les idéologies et les orientations, ainsi que l’efficacité des écoles, des journaux et des mosquées dans la propagation de cette langue, ces envahisseurs ont tout fait pour en priver les algériens, ils leur ont interdit de construire des écoles ou de constituer des journaux, et ont transformé leurs mosquées en églises. Et sans les efforts de l’Association des Ouléma, sous la régie de l’imam Abd El-Hamid Ibn Badis, pour créer quelques écoles et éditer quelques journaux et revues sous les coups de feu de la France, l’Algérie serait aujourd’hui dans une situation bien plus critique » 
Mohamed Salah poursuit : « Le colonel a ensuite insisté sur le devoir de tout algérien et algérienne de préserver cette langue qui est celle de leur religion et de leur Coran, et le lien qui les attache au monde musulman. Et quand un des présents lui posa une question sur le rôle des intellectuels arabophones, il dit que celui-ci est honorable et en cita des exemples, certains étaient martyrs, d’autres luttaient encore dans les rangs des moudjahidine et des militants. Amirouche parla longuement du rôle de ceux-ci dans la magistrature, la fatwa et l’éveil de l’esprit révolutionnaire dans les villages et les zones rurales.
En 1958, peu de temps après ces paroles, Amirouche instaura une directive obligeant tous les moudjahidines à pratiquer la prière et les invitant à apprendre la langue arabe, une mission pour laquelle il désigna des instituteurs. Désormais, il était devenu commun de voir le moudjahid dans les montagnes avec à une main son arme et à l’autre un cahier pour ses cours d’arabe
il avait trouvé dans la citadelle de Ait Abbas la conscience d’esprit qu’il n’avait pas trouvé dans d’autres villes ou villages, il envoya à cet effet une lettre au cheikh Mohamed Salah Ben Attik, un savant qui faisait partie des instituteurs de l’école de la citadelle avant la révolution, dans laquelle il faisait allusion au travail effectué par Cheikh Ben Atik, ainsi qu’à l’esprit patriotique frappant chez les habitants de la citadelle en général et un peu plus chez les élèves de la medersa : « Arrivant à la citadelle, j’ai trouvé des gens fin prêts à rejoindre les moudjahidines pour la guerre de libération, une guerre pour laquelle ils seraient honorés de sacrifier leurs vies et tous ce qu’ils possèdent…Si seulement on avait répandu ces écoles sur tout le territoire national, on serait débarrassés de beaucoup de problèmes qui entravent notre chemin aujourd’hui ».
Tahar Ait Aldjat, Arezki Ketali, les frères Saïd et Si Tayeb Boudaoud, Cherif Oussahnoun…et bien d’autres. Aussi, exprimait-il beaucoup de respect envers les gens qui s’appliquaient à la servitude du Coran, ainsi que les étudiants des zaouïas consacrées à l’apprentissage du Coran.
Au cours d’un entretien personnel avec Cheikh Tahar Ait Aldjat, celui-ci m’affirma : « Il avait une confiance absolue en les Ouléma », ce que confirment les écrits de Mohamed Salah Seddik : « …et je rapporte à l’Histoire que l’ayant interrogé sur les hommes de la religion et de la culture arabe dans la troisième wilaya, et sur leur position face à la révolution, il magnifia celle-ci et reconnu leur militantisme, il m’interrogea ensuite sur deux d’entre eux : Cheikh Tahar Ait Aldjat et Cheikh Arezki Aït Chebana, et quand je lui répondit que je les connaissais il me dit : ce sont des exemples de rigueur et de vitalité, si tu les vois tu leur donnes moins de trente ans d’âge ! ».
Amirouche avait également coutume de se fier, pour les fatwas, aux Ouléma qu’il connaissait dont Tahar Ait Aldjat avant de l’envoyer en Tunisie.
Et lorsqu’un jour le responsable des HABOUS M’hand Tahar Mouassi et son ami Abou Abdessalam firent une remarque à Amirouche sur la nature des tribunaux de l’armée de libération et leurs pratiques, il leur répondit : « Etant donné que les imams connaissent mieux que quiconques les lois de la Charia, il est impératif que ceux-ci aient leur statut dans la magistrature de l’armée de libération. De ce fait, il vous suffit de nous faire parvenir vos suggestions que je m’engage à exécuter ». Dans cette nuit même, les deux imams établirent un agenda tournant autour des points suivants :
- L’interdiction d’exécuter tout accusé avant qu’il n’ait été jugé par un tribunal légal.
- La révision de la composition de tout tribunal en y introduisant un membre représentant des HABOUS qui posséderait désormais pleins pouvoirs.
- L’obligation à tout les moudjahidine de pratiquer la prière.
Aussitôt, Amirouche émit une instruction à toutes les régions leur demandant d’appliquer les directives de l’agenda. Djoudi Atoumi dira, en parlant des tribunaux après cette instruction : « Le représentant des HABOUS possède au moins l’influence si ce n’est le dernier mot ».
Amirouche glorifiait tellement les gens du savoir qu’il exigea aux responsables de l’organisation de déléguer la supervision des cellules, villages et communes aux instituteurs non encore inscrits dans les rangs de l’armée de libération. Et à ce propos, il dit une fois : « La mission de ces instituteurs est très dangereuse, elle est plus grande que celle du combattant au fin fond du maquis, leur culture est le véritable grade dépassant mon statut militaire de colonel ».
Nous l’avions mentionné, le colonel Amirouche consultait toujours les Ouléma sur les questions d’ordre religieux, ainsi que sur les décisions et initiatives qu’il devait prendre. Parmi ces Ouléma il y avait :
- Cheikh Larbi Tbessi après son départ à Alger en 1956, celui-ci transféra même à Amirouche de l’argent et des machines pour l’écriture, l’impression et le tirage. Et quand Amirouche lui demanda un jour de lui rédiger des recommandations qu’il pourrait suivre pour le djihad, il lui envoya le Coran en petit format avec un émissaire à qui il dit : « transmets lui mes salutations, mes prières pour lui et ma grande satisfaction de leur djihad et leur triomphe, et dit lui que ce noble Coran est ma seule recommandation ».
- Rabie Bouchama, un élève de Ben Badis, avec lequel le colonel entretenait une bonne relation grâce à la cellule de Paris où Amirouche était son élève entre 1952 et 1953. Cette relation perdura pendant la guerre où Rabie était un moudjahid travaillant dans le secret. Il faisait l’intermédiaire entre Amirouche et cheikh Larbi Tbessi, et entretenait avec Amirouche une correspondance intense, d’ailleurs il fut conseillé de détruire ces lettres mais il n’en a jamais eu le courage, jusqu’au jour où elles furent découvertes chez lui, il en fut exécuté sans même être jugé.
- Cheikh Mohamed Salah Ben Atik dont on avait publié une partie d’une lettre que lui avait écrite Amirouche à l’époque où il se trouvait à Blida.
- Mohamed Salah Seddik, l’auteur de « Makassid Al-Cor’an ». Même en plein champ de bataille, Amirouche demandait avec insistance de ses nouvelles et lui faisait parvenir ses salutations avec ses soldats lorsqu’ils se déplaçaient vers la région où il se trouvait, chose qui fit croire à ces militants que les deux se connaissaient bien avant la guerre, mais en réalité Amirouche entendait seulement parler de lui, leur première rencontre fut en 1957 en Tunisie, Amirouche y était en mission, quant à Mohamed Salah, il s’y était déplacé après avoir fondé le journal « Al-Moukaouama » (la résistance), et ce fut Amirouche qui chercha Mohamed Seddik et demanda sa rencontre.

Amirouche attachait une grande importance à l’enseignement, une qualité héritée sans doute du mouvement réformiste dirigé par l’Imam Abd El-Hamid Ben Badis et dont l’enseignement constituait le pilier principal. En effet, en plein cœur de la bataille et à l’ombre du siège militaire, Amirouche pensait déjà à l’Algérie d’après l’indépendance, il était confiant quant au soutien d’Allah aux moudjahidine. De plus, ses compagnons avaient aperçu divers miracles confirmant l’assistance du seigneur aux moudjahidine. Un jour, Amirouche avait même offert une montre à Mohamed Salah Seddik pour « compter les jours restant à l’occupation » qui n’étaient plus très nombreux selon lui. Et c’est pour cela que tout en organisant la troisième région militairement, il avait en-tête l’idée de former les cadres de l’avenir. Il structura pour cela le secteur de l’enseignement de sa région qui s’étalait jusqu’à Boussaâda au sud, et de Ténia et Dylles à l’ouest jusqu’à Sétif et El-Bordj à l’est. Il consacra pour cette grande mission un budget de taille et fit appel aux hommes des HABOUS qui ne lésinèrent point sur les efforts sur le terrain. Ce n’est pas pour rien qu’Amirouche attachait une importance particulière au secteur des HABOUS, un service qui prenait en charge l’enseignement, la fatwa, la magistrature en plus de la gestion des HABOUS à savoir : mosquées, zaouïas et écoles coraniques. Amirouche intervenait personnellement pour trouver les cadres de la charia aptes pour gérer ce secteur, parmi ses recrues au niveau de la wilaya, il y avait Abd El-Hafid Amokrane et Ahmed Kadri, tous deux formés dans les zaouïas locales.
Cheikh Tahar Ait Aldjat témoigne, lui, avoir été chargé en 1955 de créer des zaouïas dans les villages voisins de Tamokra pour y enseigner le coran et la langue arabe, et pour y éveiller la conscience des gens et les inciter à lutter pour la libération. Il affirme également qu’Amirouche consacra une enveloppe pour la restauration de la zaouïa de Tamokra et autres zaouïas.
Amirouche profitait de son passage dans la région des AIT AIDELS ,pour voir le phénoméne SI ALLAOUA dit ARIH. Devant l'homme charismatique si allaoua demandait d'abord qu'avant de parler qu'il ait la garantie d'etre épargné par la torture ou la guillotine. Une fois rih rassurait,il lançait la fameuse phrase prophétique:"j'ai peur que nous ne sommes que des pions et que vous ne soyez que des pronostiqueurs"
« Vous êtes la génération de demain… », Dira le colonel lors d’un discours prononcé devant les étudiants de la zaouïa d’Abou Daoud, « …c’est vous qui aurez en charge d’éduquer les générations de l’indépendance et qui serez les cadres de l’Algérie libre. En effectuant vos études dans cette école, vous accomplissez le même combat que celui des moudjahidines, c’est cette façon à vous de lutter, qui nous rassure sur l’avenir du pays. N’oubliez pas que la guerre sera longue et pénible, soyez donc prêts à prendre le flambeau si on a besoin de vous au maquis, mais d’ici là, concentrez vous sur vos études et travaillez dur ».
Ne se contentant pas de parrainer le secteur éducatif à l’intérieur du pays, le colonel envoyait également des étudiants en Tunisie qui partaient ensuite vers d’autres pays arabes tels que la Libye, l’Egypte, la Jordanie, l’Irak, l’Arabie Saoudite et autres pays amis. Il envoyait les jeunes qui avaient acquis les notions élémentaires du savoir dans les zaouïas comme celle d’Abderrahmane ALILLULI et de Tamokra, et dans les medersas de l’association des Ouléma et autres écoles libres éparpillées dans la troisième région.
Il chargea, pour cette mission, les cheikhs Arezki Ait Chebana et Mohamed Tahar Ait Aldjat ainsi que monsieur Saïd Ben Ghanem de rendre en Tunisie pour accueillir ces étudiants, les prendre en charge, les instruire et les orienter vers les spécialités qui leur conviennent. Il y avait à Tunis deux centres pour accueillir ces étudiants dont le nombre dépassait les trois cent selon certains témoignages et, à qui il consacrait un budget spécial, à titre d’exemple, il leur envoya en août 1958 la somme de trois millions de franc ancien. Il ne manquait pas également de leur envoyer des lettres leur rappelant leur devoir et l’objectif pour lequel ils ont été envoyés à ces pays, tout comme il leur faisait des discours avant leur départ dans lesquels il disait : « Je vous envoie en Tunisie pour y acquérir une formation qui vous permettra de servir la patrie après l’indépendance. Ne revenez qu’avec des diplômes, c’est ce dont nous avons le plus besoin ».
D’après Abdelhafid Amokrane, Amirouche aurait commencé cette opération en émettant une instruction à toutes les communes de la troisième région leur commandant de rassembler les étudiants dans certains centres pour ensuite les envoyer selon leurs prédispositions dans des instituts en Tunisie, en Egypte, en Syrie, en Irak et en Arabie Saoudite pour y accomplir une formation militaire, littéraire ou en sciences humaines, et par la suite rejoindre les différentes structures de la révolution. La troisième région était vraiment une pionnière en la matière, et beaucoup de ces diplômés se verront attribués différents postes importants après l’indépendance, une action aussi réfléchie nous montre le coté visionnaire d’Amirouche, pensant à l’Algérie d’après l’indépendance, il savait pertinemment que la guerre coûterait au peuple un grand sacrifice qui n’épargnerait pas l’élite cultivée.
Amirouche continua ainsi à se soucier de ces étudiants jusqu’à la fin de sa vie, c’est pour cela qu’il emporta avec lui au gouvernement provisoire les revendications se rapportant aux délégations scientifiques. Le 02 Mars 1959, le Conseil de Wilaya demandera l’attribution d’une aide financière régulière aux étudiants algériens se trouvant à l’étranger. Ceux-ci manquaient de l’encadrement et des moyens suffisants qui leur permettraient d’avoir une vie décente, tandis que le budget de la troisième région devenait insuffisant. ( Le Conseil de Wilaya se réunit à titre exceptionnel, Amirouche, lui, se réunira avec le reste des représentants des wilayas, c’est ce qu’on appellera la réunion des quatre colonels, qui décideront de faire parvenir l’ensemble de leurs revendications à Tunis, hélas, les colonels Amirouche et Si L’houas tomberont tous deux en martyr sur le chemin. Qu’Allah leur fasse miséricorde.)
Amirouche respectait non seulement les cultivés arabophones mais également les gens ayant reçu une instruction francophone, il les rapprochait de lui et les mettait sur le piédestal peu importe leur âge, à tel point que les anciens moudjahidine jalousaient les jeunes recrus d’après le 19 mai 1956 pour les grades qu’ils avaient. Ce qui dément les accusations à tort de certains envieux prétendant qu’Amirouche détestait les cultivés au point de les exécuter sans raison. (Le 19 juin 1956 est la date où les étudiants des écoles françaises rejoignent massivement le djihad, quant à ceux des medersas de l’Association des Ouléma et ceux des zaouïas, ils avaient déjà pris de l’avance seuls ou en groupes, dès la première étincelle de la guerre sainte. D’ailleurs, le tout premier martyr, Kassem Zeitoun, n’est autre qu’un diplômé de l’institut Ibn Badis. Tué le 2 novembre 1954 après avoir été torturé, son corps sera jeté au port d’Alger).
Notre colonel savait que la nation s’était trop éloignée de ses valeurs fondamentales, c’est pour cela qu’il avait la conviction que la lutte pour les valeurs était le grand djihad qui attendait la nation après l’indépendance. Un jour, lorsqu’il faisait ses adieux au Cheikh Mohamed Salah Seddik en Tunisie, il sortit une montre de sa poche, et généreux comme il était, il la régla sur la sienne et la lui offrit en lui disant : « prends-la pour compter le peu de jours qui restent au colonialisme en Algérie. Après l’indépendance, nous mèneront un autre combat pour nos valeurs, notre Islam et notre langue arabe, ce combat sera, lui, le grand djihad ».
Ces quelques mots dévoilent une face bien méconnue de la vie du colonel Amirouche, celle d’un musulman passionné de science, des Ouléma et de la langue arabe, langue du Coran et de la religion musulmane…
Voici, maintenant, en complément quelques extraits du livre de Djoudi Atoumi, le combattant qui vécut un bon bout de temps aux cotés d’Amirouche dans la troisième wilaya : « Il est évident qu’il œuvrait pour que la religion ait un statut important chez les moudjahidine », « Il aimait s’approfondir dans les sujets touchant la Charia », « C’était un pieu conservateur, très respectueux des valeurs de l’Islam qu’il faisait suivre à tous les moudjahidine », il a été rapporté que les nouveaux adhérents d’avant 1956 prêtaient serment devant Amirouche en disant : « Je jure sur le saint coran de combattre jusqu’au triomphe ou jusqu’à la mort ». Amirouche avait tellement une réputation de pratiquant chevronné que certains l’appelaient Omar Ibn EL-Khat tab, il a même été dit qu’il imposait aux moudjahidines de connaître toutes les lois islamiques concernant le djihad.

Amirouche tomba en martyr sous les bombardements le 29 mars 1959 en compagnie de Si L’houas en route vers la Tunisie, et ce, au niveau de la montagne Thamer près de Boussaâda, C’était un capitaine sénégalais qui lui enlevait son arme ‘aujourd’hui exposée au musée de maqam à chahid a Alger. Victime d’  une trahison dont l’origine reste incertaine. Mort le Coran en poche et le souci de la langue arabe et de l’Islam dans le cœur, il emporta avec lui les revendications concernant non seulement le djihad à l’intérieur du pays, mais aussi les étudiants algériens à l’étranger.
Je prie Allah de faire en sorte que ses paroles nous soient à tous utiles, et qu’elles puissent « ouvrir l’appétit » des chercheurs, notamment, les spécialistes en Histoire pour qu’ils puissent mettre davantage la lumière sur ces cotés de l’Histoire qui servent pleinement les causes contemporaines de la nation, surtout si on prends en compte toutes les campagnes diffamatoires menées contre les symboles du djihad, ainsi que les multiples falsifications apportées à l’Histoire.
Et le sceau de nos invocations est : Louange à Allah Seigneur de l’univers.
Taslent porte en elle le souvenir de la bataille héroïque de l’été 58 ou ses terribles fils en les personnes du lieutenant benaoudia smail, l’aspirant khazaz Arezki et tigrine Omar à la tète des fédayins avaient humilié les soldats français avec leurs harkis. La bataille avait commencée des 7H du matin pour s’achevait que vers 20H,les hélicoptères ne finissaient pas de transporter les cadavres des soldats vers Ighil Nacer.vu l’étouffements des soldats coloniaux par les  héroïques combattants ,ils font sortir les deux civils du village Mohand medjakoune et bibi Hassan( âgé à peine de 18 printemps)pour signifier aux fédayins qu’il ne restait que des civils
Pour enfin les persuader d’arrêter.
Je ne peux quitter la région, sans faire un saut au village d’AIT AMAR OUZAGAN OU L’armée française avait découvert les vertueux guerriers que nulles armes aussi puissantes soient elles n’avaient pu plier. Combien de batailles gagnées contre l’ennemi, rien que par le courage et l’aide divine, car , ils ont que des mains nus mais un cœur totalement  croyant à la finalité de la cause, c’est sur les hauteurs de ce village que le colonel  Abderrahmane mira succombait  en martyrs sous les balles  de l'ennemi ,pour la liberté de son  pays.
Le 22 JANVIER 56 le village fut assiégé de partout par l’armée coloniale, des feux nourris à l’artillerie lourde viennent des trois camps français ; tizi Naslive, la caserne d’Akbou et bouzarroual sur la RN 26.
BEAUCOUPS DE VILLAGEOIS TOMBAIENT EN MARTYRS DE LA Révolution, PARMI EUX DES FEMMES, ENFANTS ET VEILLARDS.
Des l’aube, le village était assiégé de partout au point ou toutes les entrées étaient bouclées .Les villageois surpris, résistèrent à l’envahisseur avec juste la volonté de ne peut abdiquer malgré les mains nus .Vu l’acharnement des militaires français sur la population sans défense, beaucoup d’eux avaient péri et d’autres ont pu échapper aux massacres .Non satisfait de leur barbarie ,ils mettaient le feu au village.
Même le bétaille et les vivres ont été confisqués. Le village est désormais déclaré zone interdite,
C’était par mesure de représailles, que l’acharnement de l’ennemis s’était abattu sur la contrée car ait Amar ouzagan avait été le lieu ou les soldats français avec leur harkis avaient enregistré  leur première défaite début 56 .les lieux dit thivhirine athaamara, thighilt ouhija, thighilt athfartast étaient les cimetières de l’ennemis.
C’est dans ce village héroïque que le drapeau blanc avait été hissé aux yeux des fédayins par les français.
Ce jour là, innombrables étaient les  hélicoptères transportant leurs morts et leurs blessés vers AKBOU, ou le décompte des mort était de 80 et plusieurs blessés.
NOTRE »POETESSE HISTORIENNE » N’AVAIT PAS Rate L’OCCASION DE DEDIER   CE POEME EN MEMOIRE DE CE SINISTRE JOUR
Athadardth athaamar ouzagan             village d’Ait Amar ouzagan
Athin idavdha thoura                          initiateur de la révolution
Khouniwiw dhazar gouzel                    vous êtes fait de fer
Dhizmawen idiraba wadhrar                  c’est des lions
Mi doussan galgharb dha chark              que la montagne a enfanté
1)    A3win anssan dhin igala                         ceux qui viennent de l’est et de l’ouest
Nafs dhagsen dhalkhoubatha                  leurs viatiques les attendaient
Yiwan ouya3lim aswa                              la moitié d’eux sont des traitres
Franca thakhwafalagh                             et tous s’ignorent les uns les autres
Agthizi I3DAHDHA DAW3ASSOU                 la France s’acharnait sur nous
ARSSAS YOUGHAL FALLAGg ADHSSAKSOU   c’est depuis tizi qu’elle  nous traitait
Igani tharssas yatmirid                             par une
 Igani tharssas yatmirid                             avalanche d’obus devenue pour                                                                         nous
L’hecoptére thassawadh archellata             tel  du couscous
Izmawen angh yamouthen dhachouhada     l’hélicoptère transportait à Chellata
                                                                 Nos lions tuaient en martyrs
Thilawin slawliwen assa  les youyous des femmes glorifiaient nos hommes
Afyargazen anagh igkouvlen frança
JE NOTERAI l’héritage gardé par la population à la dévolution de l’eau à travers la fontaine des mariées, autrefois, bien avant la guerre de libération toutes mariées passeront devant la fontaine pour offrir de leurs mains un vase d’eau ,puisée de la source, à un enfant du village.
Tayeb takorabet survivant des massacres commis par les colons français au douar d’Ighram et surtout le pré génocide de son village natal AIT AMAR OUZAGANEou


meme des enfants de bas age avaient été la cible de l'ennemi.Tayeb porte aujourd'hui les sequelles d'une balle qui avait traversée son pied à l'age de l'innocence,portait jusqu'à ce jour la souffrance morale des images qu'il avaient vues defilées,il me dira;"etant allongé entre les buissons avec du sang qui jaillit de mon corps,un oiseau passait au dessous de moi et je l'avais suplié de me libérer de cet enfer!c'est gràce à cet oiseau  qui tournait au dessus de moi ,que des moussablines avaient remarqué la scene ,qui les avait attirée vers le lieu ,alors ils me découvrerent à moitié inconscient;c'était ainsi que j"avais survécu!
aujourd'hui tayeb conseille à la jeunesse de s'attacher à leurs terres aquises aux prix des rivieres de sangs versées par par nos valeureux chouhadas,lui qui avait été témoin occulaire de la barbarie gauloise ne rate jamais l'occasion d'exprimer son souhait le plus chér ;celui de voir la population se mettre à la révolution pénible de la sueurs afin d'accomplir l'oeuvre de nos aieux et de léguer à la génération future un pays juste,fier et prospére.
tayeb continu son combat à travers son attachement sans condition à l'agriculture,il insiste pour que nos jeune prennent conscience de l'importance de l'indépendance alimentaire ,ainsi,il les invite à un retour à leurs terres delaissées!

mercredi 1 août 2012

vestiges funeraires village TAMOKRA

lors de la réalisation de la nouvelle mosquée de tamokra,les ouvriers étaient sidérés par la decouverte à 4 métres de profondeur d'une tombe contenant les ossements d'une femme portant avec elle ses bijoux.
On peut noter la bague en bronze sur laquelle est sculpté un soldat portant une lance ,quirappelle à bien des égards le soldat pharaonnique.
Un pendentif en argile sur le thoraxe ,une assiette en argile et de nombreux bracelets en bronze qui portent l'image de serpents aux extrémités.
Cet découverte confirme le peuplement préromain de la vallée,et ,à travers les objets retrouvés on deduits la croyance antiques des berberes à la vie aprés la mort,similitude avec le culte égyptien de l'antiquité.
Dommage,fautes moyens matériels,on aurait pu situer lafourchette d'age du squelette par mesure d'activité.
Une certitude que cela remonte à des siécles avant les romain .

Les repéres archéologiques d'Arafou

piece de monnaie à l'effigie de l'empereur romain ANTONIN LE PIEUX retrouvée sous le sol d'ARAFOU (AKBOU)
le verso de la piece representantsa femme faustina senior 138-161 Ajc

D'autres pieces ont étés découvertes elles portent l'effigie de l'empereur hadrien et au verso la deesse afrika
a noter que la deesse afrika est une veneration des berberes àl'origine.Elle represente la protectrice des cavernes ,des guerres au nom d'ifri
à present on garde la toponymie ifrens,tifrit etc
si la légende admis qu'ARAFOU était habité depuis des lustres,aujourd'hui avec les multiples découvertes archéologiques ,on ne peut que confirmer l'existancede cette cité antique habitée par des berberes romanisés ,bien avant le premier siecle de l'ere chretien.
Le mausolée d'AKBOU semblable à celui de douga en tunisie ,etait certainement un lieu ou se reposait un prince berbere de la localitéou du moins un lieu de culte religieux.
Medjahed larbi

mardi 31 juillet 2012

MOHAMED HAROUN UNE HISTOIRE UN COMBAT

Mohamed HAROUN natif d’Akbou participait à l’affaire des poseurs de bombes, dans le cadre de la lutte pour les droits culturels amazigh.il sera emprisonné jusqu’à la grâce du président CHADLI. Il fini ses jours en solitaire dans son village natal oublié par les pseudos partisans de la culture berbère.
A sa sortie de prison, juin 87, il arrivait au village Tifrit avec un cartable à la main, nous à l’âge de l’innocence on ignorait cet homme qui en passant devant nous, nous fixait des yeux sans nous harceler et continuait son chemin. A peine quelque minute on entendait des coups de tirs et des youyous de femmes, on courait vers l’ancien village ou la foule ne cessait de s’agrandir autour de MOHAMED HAROUN  que je viens juste de découvrir physiquement ; je me rappelle de cette journée quand les villageois de la tribu défilaient  sur notre paisible village pour saluer fièrement leur héros, un vent de fête soufflait alors sur la bourgade me disait Azzedine bouyahia qui a le mérite d’immortaliser le chancre en donnant son nom à sa luxueuse librairie.
« Lors d’un concours sur la littérature arabe au lycée de dellys ou il exerçait comme maitre d’internat.IL surpris ses adeptes en participant au concours, lui qu’on croyait un anti arabo graphie, prouvait aux yeux de tous qu’il maitrisait la langue d’Al-Mustanabbî en arrachant le premier prix, mais, qu’il n’acceptait pas aussi que sa langue maternelle soit éclipsait et défendue pour dire que Mohamed est persuadé de la diversité culturelle de la patrie qui ne peut être que source de richesse et d’ouverture.
A la réception de son prix, il rejoignait la scène devant une salle archi comble, habillé modestement il déclarait à l’assistance « ; ce n’est pas le prix qui m’intéressait mais ma lutte pour nos droits culturels ; »
Au fait l’héro de la lutte pour les libertés politiques et culturelles est natif de TIFRIT paisible village sur la route de Chellata à la banlieue d’Akbou le 13 AVRIL 1944, fils de chahid. Au recouvrement de  notre indépendance il perdit ses de sœur qui succombaient à la misère matérielle.il s’initiait aux études pendant la guerre, dans un camp militaire colonial puis ,une fois la liberté acquise il rejoignait l’école d’enfants de chouhada à bir lahrach  wilaya de Sétif.
Son génie lui a permis de percer rapidement dans les études car il survolait trois niveaux en une seule année (cm1, cm2, cours fin d’étude) orienté vers le CET de la même ville .Enfin en 1967 de retour dans sa région natale, il s’inscrivait au CENT de sidi aiche pour préparer le CAP d’ajusteur .après sa réussite au concours d’entrée au lycée technique de DELLYS ou il obtint le brevet de maitrise et le bac technique.
IL s’inscrivait à la fac centrale, filière des sciences exactes dont son ambition primaire était la conception de laser. Comme il était de condition misérable, il se sacrifiait pour gagner de l’argent et subvenir à ses besoins. il intégrait l’observatoire de BOUZAREAH pour s’initier à l’astronomie tout en poursuivant ses études de physique.
Entre 1972 et1975 il participait à la création du mouvement radical amazigh OFB(organisation des forces berbères) attachait à la revue athmathen=les frères ,organe de propagande.


Les détenus des  doits de l’homme ont rapporte qu’ils le trouvèrent totalement délabré avec une barbe  de plusieurs semaines, un physique portant les séquelles de la torture qu’il avait subit dans son cachot de TAZOULT, malgré cette faiblesse physique il les étonnait en le voyant souriant.
Pour lui c’était le jour de sa victoire car à la vue de ces nouveaux bagnards kabyles, son reflexe de militant réveille en lui la confiance en son peuple ; son combat n’était pas vain car devant lui la preuve vivante d’hommes condamnés pour des idéaux auxquels il s’est lui-même élevé, ainsi, il voit la continuité de son rêve : son combat pluriel..
Le fils du directeur de la prison entretenait des relations de respects avec le condamné ; il apprendra de Mohamed sa propre histoire celle des amazighes
Et arrachait aussi son bac grâce aux cours de physique et de mathématique que l’incarcéré Lui prodigue.
Je noterai que la genèse de sa  lutte multi directionnelle débutait au sein de cet établissement, ou il plantait les racines revendicatives  de nos origines berbères mais aussi des libertés démocratiques.les coopérants moyens orientaux faisaient de lui la cible privilégiée au point ou ils exigèrent de la direction l’expulsion de Mohamed de l’établissement.
Après le couronnement de son cursus universitaire en physique nucléaire, il démontrait que cette science pouvait aisément être enseignée via sa langue maternelle et il faisait déjà la démonstration de sa vision sur le terrain.
Faisant partie des groupes berbéristes, il participait à la création des revues clandestines « itij »=le soleil et taftilt =la bougie pendant la période de 1972 à 1975
Son mouvement se radicalisait, et en 1976 IL exprimait violement ses revendications en déposant une bombe à Constantine au niveau du tribunal militaire LE 5 JANVIER 1976, simultanément à celle déposée par son ami de lutte Hocine cheradi au niveau de l’organe de propagande du pouvoir : el moudjahid alors que la troisième destiné à sensibiliser l’oranie grâce à smail medjeber n’a pas pu  exploser puisque les services de la SM avaient interpelle l’acteur avant l’exécution de sa tache.
Il sera arrêté avec ses compagnons et condamné à perpétuité à la triste célèbre prison de Tazoult : Lambèse ou il subirait la tyrannie et les sévices de tout genre, surtout le terrorisme moral car ces tortionnaires le taxèrent de fils de HARKI.
Comme les malheurs étaient son viatique, il serait choqué par la perte cruelle de sa mère, décédée sur la route qui l’amenait vers son fils.
Même en étant prisonnier, il étudiait les langues arabe, française, anglaise et espagnole  ce qui le hissait au rang de  polyglotte.
Parallèlement à la littérature, il se penchait  sur la linguistique berbère et achevait ses deux poèmes témoins de ses engagements patriotiques : avridh ntleli=le chemin de la liberté et « monsieur le président » ;ce dernier poème serait transmis à sa sœur thayagout dans une soupière ,elle le donnait au chanteur MATOUB qui avait le mérite et le courage de le chanter .
N 1986 sous l’appel de madame  Fatima medjeber qui propageait un manifeste décriant les conditions inhumaines dont lesquelles les inculpés survivaient toutes les atrocités indignes de l’œuvre humaine.
Elle décriait cette situations misérables « ;;;à tous les artistes, à tous les hommes et toutes les femmes épris de justice et de liberté pour faire pression sur les autorités Algériennes afin de sauver ce qui est vitale en son fils ,Mohamed Haroun et de leurs camarades détenus politique en Algérie »
C’est suite à ses positions que le condamné  retrouverait sa liberté.
Malgré le poids des années de bagne, il continuait à militer au sein du MCB, mais, les interférences des buts divergents de ces adhérents, avaient conduit le mouvement à sa mort latente et à son extinction définitive : LE REFLEXE KABYLE REFLET DE SON PASSEE FAIT DE DIVISIONS ET DE L AMOUR DU POUVOIR ET DE LEADER CHIP.
On taxerait même le feu Mohamed de DEBILE MENTAL C’est ainsi qu’on récompense les hommes et femmes qui ont sacrifie leurs vie afin d’éclairer leur peuple !!!!!!
On notera sa tentative de traduction du Coran en tamazight.
Il signait souvent ses lettres  de prison par l’expression « la gentillesse humaine se trouve en deux mots attendre et espérer 

lundi 17 septembre 2007

IGHIL OUMCED DEPUIS L'ANTIQUITE




vue d'ensemble du site berbero romain sis au nord du village d'ighil oumced,il s'etale sur plusieurs hectares.Il fut accaparé par le génerale romain theodose lors de la révolte du prince berbere FIRMUS LA fin du 4 siecle ap JC.

IGHIL OUMÇED, village limitrophe d’Alma, dans le douar Chellata. Il s'étale sur une colline dominant la plaine de la Soummam centrale à 3km à vole d’oiseau, d'Akbou.
Sa vocation première est l’agriculture. Malgré, le déplacement massif de la population vers la plaine, il demeure l'un des villages des plus denses de la Kabylie.
L'effet du hasard, a permis aux villageois d'exhumer les vestiges d'une civilisation "berbéro-romaine», que les méfaits du temps n'ont pu altérer. Parmi ce qui a été découvert, on notera particulièrement:
La Stèle étêtée, faite dans un bloc homogène sauvegardée dans un local muséifié d’IGHIL OUMCED. Elle représente une femme debout enveloppée dans une tenue pudique, En appréciera la finesse de l’art. L’œuvre remonte probablement au 2_3 siècle AP JC.

Deux stèles comparatives sont exposées aux musées de Guelma et de Cherchell (l’une d’elle remonte à la période de Juba2).

Deux autres Stèles à trois registres unies par deux motifs communs ; un homme barbu porter par deux valets puis un cavalier occupe la partie supérieure, au centre les deux stèles marquent leurs différences.
La stèle centrale semble être plus ancienne au vue de la manière dont ont été sculpté les différents motifs, ce qui est remarquable c’est la répétition des   mêmes  motifs  sur les deux stèles, on  en déduit  logiquement leur appartenance à la même civilisation. Le registre de l'une des stèles est plus élaboré, on distingue une femme en face d’un oiseau qui est invraisemblablement un rapace (signes liés à la religion chrétienne vers le 3 et 4 siècle AP JC)
Elle porte la mention D.M.S (duis minibus sacrum) cavalier mort à 75 ans.


Toutes les stèles ont été déterrées par les habitants d’ighil oumced au niveau du lieu dit « vouathmane »limitrophe d’AGOUNI* nmsara, thamalkouts, azrou mghayeth.
Sur l’étendue du site existe une multitude de pierres de taille, colonnes, des débris de poteries, et grottes non encore explorées. La position géographique du site dominant la plaine et se tournant vers la rive Est de la Soummam ou est implantait le château de Petra dévoile enfin l’arcane du site. Il s’agit vraisemblablement du fameux lopidum lanfoctance que le générale romain avait pris lors de la guerre de firmus. Après avoir rasé le château de Petra sis à mlakou face à IGhzer Amokrane.
« ..les romains vainqueurs se répondirent dans la campagne ,et mirent tout à feu et à sang .Ce fut dans ce pillage qu’ils détruisirent de fond en comble la superbe résidence du fundus petrensis,que(Petra),que l’un des frères de FIRMUS ,SALMACES(Sammac EN BERBERE)venait de construire avec une somptueuse magnificense.NON LOIN DU THEATRE DE CETTE PREMIERE BATAILLE ETAIT LA VILLE DE LAMFOCTA DONT THEODOSE S’EMPARA A L’instant même .Avant de pousser plus avant ,il fit amasser dans cette ville une grande quantité de vivre et de munitions ,afin d’avoir un magasin à sa portée ,si la disette se fait sentir… »ce passage, écrit par luis la croix puisé de documents latins, dénote bien l’importance du site en question qui relativement à l’époque romaine était une cité qui prospérée, d’ailleurs i’ église qui a été détruite par le général romain a été reconstruite au 4 IEME siècle ou en retrouve un évêque de Setifis(SETIF)


Ensemble de pierre récupérées par les villageois
On remarque la finesse du décor de la colonne à ses coté un bras en poterie qui semble être support d’un vase. On repère au fond l’outil d’un araire ancien.
Ensemble de pierre formant un engrenage servant à élever des murs ou des colonnes
Une certitude et que le site n’était pas allié au romains sinon il ne serait pas attaquée ce qui pousse à croire que ses locataires étaient majoritairement berbères.et participèrent à la révolte de firmus.
Au dessus de la fontaine, le hasard nous a conduits vers l’une des clés du site, il s’agit des graffitis portés par une pierre, on y trouve les traces du taureau, cheval et d’un pigeon.
J’insisterai sur le taureau qui était l’une des
Divinités berbères héritées de la civilisation libyque symbolisant la fertilité.
Quant au cheval (qu’on retrouve aussi sur une pierre du coté de tazmalt) il retrace l’épopée de Massinissa ou le cheval amazigh faisait la gloire des guerriers numides, à ce propos je relève  ce qui est écrit par LOUIS LACROIS dans « histoire de la Numidie et des Mauritanie » « oppien place la race des chevaux mauresques parmi celles qu’on estimait plus de son temps et Nemesien ,poète carthaginois du troisième siècle, nous a laissé un portrait frappant des individus de cette race ,qui ressemble en tout point aux chevaux d’Algérie suivant cette auteur le cheval maure de pure race né dans le Djurjura, n’a pas de forme élégante :sa tète  est peu gracieuse ,son ventre difformé, sa crinière longue et rude, mais il est facile à manier, il n’a pas besoin de frein et on le gouverne avec une verge. Rien n’égale sa rapidité  à mesure que la course échauffe son sang il acquit de nouvelles forces et une plus grande vitesse, enfin même, dans un âge avancé, il conserve toute la rigueur de ses jeunes années : aussi les anciens attachaient ils  un grand prix à  ces précieux animaux .Chacun avait son nom, sa généalogie, venaient ils à mourir, on leur dressait un tombeau et on leur consacrait une épitaphe…. »Si des investigations poussées aboutissent à une découverte d’autres ruines sur la montagne avoisinant mlakou on aura la certitude que nos aïeux amazigh avaient bien leurs petites cités toujours perchées sur les pics des montagnes, dotées de stèles et de constructions comparables à celles induites par le colonisateur qui demeure  qu’encadreur.
Ces colonnes construites à l’entrée du village répondent aux mêmes techniques de construction que celles existantes sur le site. Au fait c’est askif qui chez les kabyles joue le rôle du centre de contrôle des entrées et sorties des visiteurs ou des habitants, il s’agit d’une norme sociologique propre au maghrébins.

 J’émets l’hypothèse tant que le site n’est pas répertorié  sur la carte des voies romaines, alors au vu  de son étendu il est l’égal de Tablast (tavlasth coté d’alaghan) à une différence importante, c’est que Tablast se trouve sur la plaine et s’ouvre sur plusieurs régions (haut plateau, haute Kabylie et Aumale)
En plus de sa vocation agricole car entourée de terres fertiles et facilement exploitables.
Par contre le cite d’ighil oumced ne peut être qu’un endroit sécuritaire  étant donné qu’il se trouve dans un endroit difficilement accessible.
Je peux conclure qu’il est un échantillon des œuvres de nos ancêtres et j’invite le lecteur commencer des à présent à poser la question fondamentale : ou étaient les traces      de nos    aïeux, ou habitaient ils ? Après la méditation vous serez certainement arrivé à la conclusion qu’est de décoloniser notre histoire !!!

Le notable Nubel avait 7 enfants : firmus
, Gildon, dius, cyria, Sammac, masciel et Mazuca.
Le château de Pétra une fois rasait, Théodose s’emparait de l’oppidum lanfactense  .le soulèvement étouffe vers 375 AP JC.
Aujourd’hui le site de mlakou garde à travers la toponymie l’histoire de ce drame à travers les noms des lieux tel thigarniwin (la déformation lexicale de l’expression ; thangar s yiwen génocide) et les patronymes des familles.
Vue du site berbéro romain sis à IGHIL OUMCED EX L’OPPIDUM LANFACTANCE
Il nos reste à localiser le cimetière du site et à étudier les relations existantes entre les différents lieux d’activités répertorier par les arguments indiscutables de l’archéologie.
La région garde à présent l’expression « yakhdham afarnas= faire fureur en rappel à l’héroïsme de FIRMUS ET aussi le prénom féminin vtitra répondu que dans la vallée chez les ait Aidels en souvenir du nom du château de Petra quel mérite pour notre littérature orale !!!!
Ighil oumced demeurait de tout temps berceau de résistance aux multiples invasions, les turcs n’ont jamais pu imposer leur lois ni se servir de leur caïd pour déposséder les villageois de leurs biens, d’ailleurs pendant cette période toute la région englobant le village était autonome ou du moins insoumise aux ottomans.
Apres la débâcle turc, les français verront la résistance farouche de ces nobles montagnards, depuis le soulèvement de fatma nsoumer jusqu’à  celui de cheikh Haddad et mokrani qu’ils avaient soutenue en hommes et femmes toute les révoltes.
La maison de sidi Mohand Saïd occupait le centre du village, dressait face  à la montagne qui autrefois  abritait les ancêtres des villageois, qui édifièrent le fameux l’oppidum l’anfanctance  s’étalant sur plusieurs hectares et mitoyens des trois sites antiques ; celui d’alma  à l’ouest, celui d’ifri l’est et celui de l’azib (adsava au sud ouest. Ces quatre sites se trouvent sur un cercle qui ne dépasse pas 5 km de rayon. Quant au passé récent l’ancien village  se trouvait à TIZGINE   à proximité de MEROUANE  sur le chemin communal entre Chellata et IGhzer Amokrane les derniers villages cités étaient effacés de la carte lors des affrontements perpétuels entre tribu et villages ; c’était l’ère des siècles obscurs dans l’histoire du Maghreb central.
Les grottes qui se trouvent sur le site vouathmane ont  servit de refuge au commandant Abderrahmane MIRA pendant deux jours, il s’éclipsait dedans alors que le village d’ighil oumced fut encerclé par l’armée  coloniale.                                                                                                                                   
Après l’accalmie, et par effet du hasard les villageois retrouvèrent le corps du secrétaire général   de MIRA  sans âme a proximité de l a grotte.
.fathma Idjarninan, du nom ibalaiden a été la digne  héritière de CYRIA  et l’héroïne du village.
Elle s’engageait  des la première heure  à la cause  de la révolution, elle mobilisait les femmes  pour fournir les vêtements, le ravitaillement  et assurait  la tache ménagère de nos héroïques djounouds
 Elle était constamment au contact des combattants, elle  acheminait aussi les missives destinées à l’autre régiment s de moudjahidines dans d’autre douar. Grace à son courage et à  sa foi, elle a défié un harki on lui arrachant même son arme  elle avait le mérite de sauver la femme du commandant MIRA on la présentant aux occupants comme sa bru, la femme de son fils Omar. 



La maison de mon grand père  maternel était l’atelier de confection d’habillement et faisait partie du lieu de rencontre des valeureuses femmes du village toutes engagées pour la cause révolutionnaire. L’épouse du commandant MIRA  y trouvait souvent refuge et protection.
Ma tante LAAKRI, encore en vie, fut le tailleur  et s’engageait corps et âme au point même de rester célibataire 
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Ma benjamine tante Taous, malgré son jeune âge, accompagnée d’une veille femme a pu tromper la vigilance des soldats d’Akbou  on transmettant le courrier aux mains propres de Abudaoud dit sibouhou qui servait de joint venture entre le douar Chellata et Ighram. . ,. 
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Quant à mon oncle Adjaoud Ahmed, il était l’unique garçon de ma famille maternelle.après avoir reçu les premiers cours au village ,il rejoignait  la zawiya d’Amalou  ou il s‘initiait à la littérature et aux sciences islamiques sous l’hospices des maitres LAHLOU ET AHMED ALAABASSI ;il continuait ses études à la prestigieuse zawiya de Chellata ou il recevait  les cours de  calcul et de jurisprudence sous l’égide  du maitre SAID ALYADJARI .
Pour couronnait son cursus il attirait au centre de thimalyiwin à Awzellaguen  ou il recevait es cours avancés en grammaire et métaphore sous l’égide  de Mohamed Taleb benamara dit le Djahiz kabyle..
Après la mort du cheikh en 1946, il rentre enfin au village et commençait à son tour à enseigner dans les différentes zawiyas de la Soummam tout en adhérant au mouvement national. "jusqu’au moment ou il adhérait  au rang du FLN ;
Vu ses connaissances en jurisprudences et en sciences religieuse  il sensibilisait  la population  .les français le surveillait  étroitement via leur traitres le chahid avec son ami SI SALAH HAMADACHE étaient le point d’union entre les militants d’Awzellaguen et ceux de Chellata, chaque semaine l’un deux se déplaçait au centre FLN de thimalyiwin pour la coordination.
Il répondait présent à l’appel au djihad et regagnait le maquis dés les premières heures. Il fut désigné muphti et cadi de arch. Chellata au même titre qu’Abudaoud pour Ighram et  son oncle maternel Abdelaziz ouali  pour Awzellaguen ; il tombait en martyr lors de la bataille de massoussa en 1957 ; c’était le premier martyr du village d’ighil oumced et le deuxième  après chenit dans le douar Chellata.
EN1959 FATHMA IBALIDEN fut capturée la nuit par un coup de trahison. Ighil oumced se trouvait sous le choc de la nouvelle  mais fier d’avoir donné les meilleurs de ses enfants  pour les nobles causes que l’histoire ne peut occulter !! fathma quittait le bas monde  dans les terribles conditions ;elle était transférée  à azaghar sur la plaine d’Akbou ou elle serait liquidée  depuis un hélicoptère. FATHMA MORTE EN HEROINE CONTRAIREMENT A SES EXECUTEURS SANS VALEURS MORALES, ILS ETAIENT JUSTE MASQUES DE VISAGES HUMAINS.
L’Algérie indépendante, amplifiait la misère de la révolutionnaire intègre, et militante sans visés matérialistes.  en laissant ses deux enfants dans le dénuement total, Omar aujourd’hui en vie grâce aux vertueux villageois qui l’ont toujours Soutenu .Quant à sa bru, elle recevait le salaire de misère en contre partie de sa force physique qui s’atténuait dans la petite école du village.

Les photos representent respectivement une stele portant plusieurs motifs,la partie superieure montre un cavalier alors que la partie centrale designent un ensemble de cavaliers (representant probablement une famille eteinte),quant à l'autre photo ,elle montre une colonne à demi deterrée.des pistes ecrites prouvent que le site est l'ex lopidum lanfanctance qui etait reconstruit apres la guerre de firmus ou meme un eveque s'y installat vers le 4 IEME siécle Ajc